« Le grand styliste du roman noir français interroge les fantômes de la guerre d’Algérie... » Elise Lépine, GQ
« Un style ravageur, tantôt gouailleur, tantôt coupant, souvent poète, toujours d’une justesse étourdissante... » Sandra Benedetti, L’Express
« Un roman magnifiquement écrit, un véritable théâtre d’ombres. » Nadège Rousseau, Page des libraires
« Le beau portrait de quatre hommes ordinaires balayés, malmenés par le grand vent de l’ Histoire….Brillant. » Wollanup, Nyctalopes
« Une série blême sur des laissés pour compte qui ne seront jamais des héros. Un grand "Noir" de chez Gallimard... » Michellio, Baz’art.org
« Incroyable restitution d’une époque par la force de l’écriture. » Télé Z
« Pécherot réveille les morts et donne la parole à ceux qu’on n’a pas écoutés. » Alain Léauthier Marianne
« Une manière de chef d’œuvre. » Christine Ferniot et Michel Absecat, Le cercle polar, Télérama.fr
« Une langue rude et savoureuse pour un roman noir et abrupt. » A.P. Pèlerin
« Ce roman résonne comme le cri d’un homme rongé par le remords et incapable d’oubler. » Jean-Paul Guéry, Le Courrier de l’ouest
« Quelques mots, une réplique suffisent à restituer une époque. Pécherot écrivain de Série Noire ? Ecrivain suffira. » Etienne de Montety, Le Figaro Littéraire
« Un grand texte tragique. » Claire Julliard, l’Obs
« Un style crépusculaire […] Patrick Pécherot cueille le lecteur, le laisse le cœur en vrac. » Jean-Claude Raspiengeas, La Croix
« Patrick Pécherot donne toute la mesure de son talent », Abel Mestre, Le Monde
« […] l’écriture comme un air mélancolique qu’on écoute entre chien et loup, à l’heure où surgissent les fantômes du passé, l’heure des brûlures d’estomac et des hommes qui s’essuient les yeux et écrasent leur dernier mégot avant de pousser la porte dans le froid cinglant. », Christine Ferniot, Télérama